Pour Mbagnick Ndiaye, tout a commencé là : dans le dojo national du Sénégal, haut lieu du judo sénégalais depuis les années 1970. Le géant sénégalais y a commencé dès l’âge de huit ans. S’il s’entraîne désormais en France, il ne manque jamais une occasion de revenir pour transmettre sa passion aux plus jeunes. Depuis son passage, le lieu est devenu une filière d’excellence, ambitionnant de former les judokas sénégalais au plus haut niveau. Tout ce qui lui a manqué avant de s’expatrier.
Après sa carrière, Mbagnick Ndiaye se verrait bien revenir au dojo pour aider à développer le judo local : « Je veux revenir un jour au pays pour pouvoir partager mon expérience, faire travailler les plus jeunes et faire rayonner le judo sénégalais partout dans le monde. »