Dakar, 05 août (SL-INFO) – Selon les informations recueillies par notre rédaction, de graves accusations de surfacturation pèsent sur les sociétés Avantis et Africa & Co dans le cadre du marché du riz Covid. Ramez Samir Bourgi, présenté comme le véritable propriétaire de ces entreprises, est pointé du doigt, ainsi que Rayan Hachem et Eric Bourgi, représentant de Louis Dreyfus Company (LDC) au Sénégal.

Les acteurs clés du scandale présumé

Ramez Samir Bourgi est désigné comme le principal responsable, tandis que Rayan Hachem est décrit comme l’exécutant. Le rôle d’Eric Bourgi, fournisseur de riz à Rayan Hachem, est également mis en cause. La nature exacte de la relation entre Eric Bourgi et Ramez Samir Bourgi reste à éclaircir.

Le mécanisme de la surfacturation

Le mécanisme présumé de surfacturation impliquerait ces trois individus. Il est reproché aux entreprises concernées d’avoir appliqué des marges excessives sur le riz, un produit de première nécessité, destiné à la population sénégalaise.

Les conséquences pour la population

La surfacturation présumée aurait eu un impact direct sur les populations les plus vulnérables, notamment durant la période du Ramadan. Chaque kilo de riz vendu à un prix gonflé aurait privé des familles modestes et des enfants de repas essentiels.

Questionnements sur la justice

Des interrogations émergent quant à l’absence de convocation de Ramez Samir Bourgi par la justice, alors que son associé, Rayan Hachem, a été entendu à plusieurs reprises. L’existence d’éventuelles protections et complicités est évoquée.

Appel à la justice et au gouvernement

Un appel est lancé à la justice et au gouvernement pour que tous les protagonistes présumés de cette affaire soient entendus et poursuivis. L’impatience de la population est soulignée, ainsi que la nécessité de lutter contre les réseaux mafieux qui détourneraient la solidarité nationale.

Senego

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